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Mars 2013:

Une autre voie est possible,

une autre voie est urgente !

Plus de 8000 emplois menacés en Haute-Normandie

En Haute-Normandie, si la météo devait annoncer un avis de tempête, ce serait sur l'industrie ! 6000 emplois menacés chez Renault et les sous-traitants, 2000 emplois chez Pétroplus avec les emplois induits et d'autres secteurs, comme le verre, l'agro-alimentaire, le pharmaceutique, le bâtiment, les travaux publics, sont également frappés.

Aucun secteur n'y échappe. A cela s'ajoute, l'absence de remise en cause de la politique de Nicolas Sarkozy visant à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite dans la Fonction Publique.

Quant aux projets d'avenir, tels la ligne nouvelle Paris-Normandie ou l'EPR à la centrale nucléaire de Penly, ils sont remis aux calendes grecques ou menacés. Cela handicape le développement de notre territoire et l'avenir du pays.

Le gouvernement fait fausse route:

Pourtant, les moyens existent pour enrayer le déclin, mais le gouvernement leur tourne le dos. Au lieu de soutenir l'emploi pour inverser la courbe du chômage, il prend des mesures qui aggravent la situation. Les salariés et leurs organisations syndicales sont même trop souvent considérés comme des entraves à la bonne marche de l'économie.

Le peu de marge de manoeuvre que s'accorde François Hollande et son premier ministre est dilapidé dans de vieilles recettes. Ainsi, le gouvernement a choisi d'accorder 20 milliards d'euros d'exonération fiscale aux entreprises, sans aucun contrôle. Ce type de mesure a déjà prouvé son inefficacité et son injustice.

Dans le même temps, le gouvernement prévoit de transformer en loi un accord signé, sous la pression du Medef, par des organisations syndicales minoritaires. Contrairement à l'objectif affiché, il conduirait à plus de licenciements, moins d'emplois, plus de précarité et des baisses de salaires.

Pour de nouveaux choix à gauche

Le chemin est connu. Il a été tracé en mai et juin 2012 quand le peuple de gauche s'est mobilisé pour en finir avec 10 années de droite anti-sociale et agressive. il s'agit de rompre avec la régression sociale et l'austérité pour reprendre le chemin de la création d'emplois, du progrès social, économique et écologique.

Mais la volonté manque chez celles et ceux qui sont aux responsabilités. Elle manque face aux prédateurs financiers et au Medef, qui n'ont qu'un but : abaisser nos salaires et rogner notre protection sociale à la française.

Enfermé dans le cadre ultralibéral européen, le président de la République et le gouvernement socialiste abdiquent quand les Français attendent qu'il reprenne la main. Il faut initier la renaissance productive de notre région et notre pays, redéployer les grandes filières, diversifier et développer nos productions.

Il y a urgence :

- à interdire les licenciements boursiers (la loi a reçu le soutien des parlementaires socialistes au sénat il y a un an)

- à accorder de nouveaux droits d'intervention dans les stratégies des entreprises pour les salariés et leurs représentants (cela ne coûte rien)

-à dégager de nouvelles recettes en taxant le capital et luttant contre l'évasion fiscale.

La Fédération de Seine-Maritime du PCF

 

Février 2013:

Complainte  pour l'austérité,

la chanson des nantis.


Je n'ai pas le choix,
tu n'as pas le choix,
il n'a pas le choix,
on n'a pas le choix,
vous n'avez pas le choix,
ils n'ont pas le choix...

 

mais NOUS avons le choix !  

 

Une autre politique est possible. Il n'est pas nécessaire d'avoir fait l'ENA pour savoir que, pour résorber un déficit, il y a deux méthodes, et deux seulement :

  • diminuer les dépenses, c'est à dire priver la majorité de nos concitoyen-ne-s de services publics, qui sont leur richesse.
     

  • augmenter les recettes en rétablissant et élargissant la progressivité de l'impôt, sur les revenus (du « travail » des PDG par exemple, et des dividendes) et sur les bénéfices des entreprises (celles du CAC 40 paieraient plus que les PME, un scandale?). C'est à dire revenir à une répartition des richesses moins déséquilibrée entre les revenus du travail et ceux du capital....

Nous avons le choix de ne pas reconduire « aux affaires » celles et ceux qui nous chantent cette complainte ; et dès maintenant de participer aux actions qui s'opposent à cette politique qui se dit d' « austérité » ou de « rigueur », mais qui n'est qu'une lamentable concession à la « finance » ("l'ennemie" selon Hollande, au temps de sa campagne électorale.... ).

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Toute la gauche doit être aux côtés des salariés !

Renault, PSA Peugeot-Citroën, Petroplus, Goodyear, Arcelor-Mittal, Sanofi, Fralib...On ne compte plus les entreprises où direction et actionnaires sont à l'offensive contre les salariés. Peut-on parler d'autre chose que de lutte des classes, lorsque le multimillionnaire Carlos Ghosn et ses amis de la direction brandissent la menace d'une fermeture de sites en France pour mieux imposer aux ouvriers de Renault suppressions d'emplois, gel des salaires, mobilités contraintes et allongement du temps de travail sans aucune contrepartie salariale ? Peut-on encore affirmer que la lutte des classes n'existe plus quand les dirigeants de PSA, bien aidés par leurs chiens de garde médiatiques, sortent l'artillerie lourde pour briser la grève des salariés mobilisés contre la fermeture de leur usine d'Aulnay ? Mises à pied et procédures de licenciements à l'encontre d'ouvriers grévistes, plaintes à la police, mobilisation de vigiles extérieurs, enrôlement de cadres et d'intérimaires pour briser la grève, lock-out : à Aulnay, c'est bien du côté de la direction qu'il faut chercher la violence.

Dans ce contexte explosif, à quoi joue le gouvernement ? A quoi joue M. Montebourg lorsqu'il juge "acceptable" le plan de destruction de l'emploi et de dégradation des conditions de travail concocté par la direction de Renault ? Quel sens donne-t-il à sa mission politique lorsqu'il assène que la fermeture du site d'Aulnay est "inéluctable" ? Que cherche M. Valls lorsqu'il ose dénoncer les grévistes qui se battent pour la préservation des emplois et de leurs usines comme des fauteurs de trouble et des casseurs de "l'outil de travail" ?

Les masques sont définitivement tombés : François Hollande et ses ministres ont choisi leur camp et ce n'est pas celui des salariés en butte à l'offensive du patronat.

Pourtant, disons-le haut et fort, même si ce gouvernement se prétend encore de gauche, la gauche politique ne se résume absolument pas à ce gouvernement. La gauche qui se bat aux côtés des salariés, pour préserver leurs emplois, pour améliorer leurs conditions de travail et de vie, cette gauche-là existe bel et bien. Elle existe à travers les élus et militants du Front de Gauche qui, au Parlement ou au plus près des ouvriers et salariés en lutte, agissent avec détermination. En dépit des apparences, elle existe aussi au Parti Socialiste, dont l'aile gauche a jugé "dégueulasse" le chantage à l'emploi exercé par la direction de Renault. Alors, mesdames et messieurs les élus socialistes et écologistes, écoutez vos ailes gauches, écoutez le Front de Gauche, écoutez tous ces salariés qui vous placent devant vos responsabilités : ce ne sont ni les dirigeants de Renault, PSA, Goodyear ou Arcelor-Mittal, ni leurs actionnaires qui vous ont élu ; il est urgent que vous vous en souveniez !

 

 

 

Vive la République, vive l'égalité !

« Le mariage pour tous (1) illustre bien la devise de la République », « liberté de se choisir », « égalité de tous les couples », « fraternité, parce qu’aucune différence ne peut servir de prétexte à des discriminations d’État ». Dans son grand et beau discours d'ouverture du débat parlementaire sur le mariage pour les couples homosexuels, la Ministre de la Justice, Christiane Taubira a démasqué l'imposture de la droite. Elle a rappelé à tous ces députés UMP et FN, à tous ces manifestants qui défilent contre son projet de loi, que leur combat est bien un combat contre la République et ses valeurs.

Qui êtes-vous, messieurs Guaino, Mariani, Chatel, Copé, qui êtes vous mesdames Barjot, Boutin, qui êtes-vous évêques de France et intégristes de Civitas pour refuser à d'autres des droits dont vous jouissez ? Non, votre combat n'est pas celui de la protection des enfants. Oui, votre combat est bien plutôt celui de l'homophobie et du refus de l'égalité des droits. Oui, messieurs de l'UMP, vos arguments sont nauséabonds lorsque, depuis les bancs de l'Assemblée Nationale, vous osez tenir des propos indignes en prétendant que l'ouverture du mariage civil et de l'adoption aux couples homosexuels provoquera un afflux massif d'immigrés sur notre territoire. Après la menace de l'immigration, vous inventez un nouveau danger : les couples homosexuels ! Il fallait oser !

Saluons donc vivement ce projet de loi rédigé au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. Il est aussi la preuve que ce gouvernement, contrairement aux précédents, peut se battre pour l'égalité. Alors, messieurs du gouvernement, encore un effort dans ce combat pour l'égalité ! Ne vous arrêtez pas en si bon chemin ! Rappelez-vous que l'égalité est aussi sociale, qu'elle signifie aussi lutter contre les licenciements, le chômage, la précarité, la misère et les privilèges fiscaux.

(1) NDLR: nous préférons "droit au mariage pour tous les couples .."

 

Décembre 2012:

Jean-Marc Ayrault ou "l'époque" des compromissions.

"Ce n'est pas l'époque de voir l'Etat se substituer à tous les chefs d'entreprises". C'est en ces termes que Claude Bartolone, président socialiste de l'Assemblée Nationale, dégaine son argument imparable pour justifier le choix de Jean-Marc Ayrault de ne pas nationaliser temporairement le site sidérurgique de Florange. Cette antienne de la nationalisation archaïque avait déjà été entonnée par Michel Sapin, ministre du Travail, qui déclarait le 23 novembre : "on n'est plus dans une époque où on nationalise la sidérurgie". Ainsi, si l'on suit bien M. Ayrault et consorts, l'intervention de l'Etat pour favoriser la relance de l'investissement et la reprise durable de l'activité sur un site jugé viable et rentable par le rapport d'expertise Faure n'est plus d'époque. Entendez-le bien ouvriers et syndicats de Florange, comprenez-le bien messieurs les élus socialistes et UMP de Lorraine et de Moselle, acceptez-le enfin M. Montebourg et vous tous qui prôniez une nationalisation temporaire, vous vous êtes trompés d'époque! Désormais, la gauche de combat contre les forces de l'argent, contre les logiques violentes du capitalisme financier qui brisent impunément une foultitude de vies humaines, cette gauche qui répond aux aspirations populaires n'est plus d'époque pour le président de la République et son Premier ministre. Leur époque est plutôt celle d'un compromis fumeux avec Mittal qui, tout heureux de ne pas voir ses intérêts lésés par un Etat renonçant sagement à ses velléités interventionnistes, s'"engage" à renoncer à son plan de licenciement et investir 180 millions d'euros sur le site de Florange dans un délai de 5 ans. Que vaut un tel engagement pris par un groupe qui a fermé le site de Gandrange en 2009, après avoir pourtant promis d'y investir et de le développer durablement ? Que vaut un tel engagement de la part d'un groupe qui a préféré surfé sur la croissance des années 2006-2008 et utiliser les aides publiques pour multiplier les distributions de dividendes et autres bonus faramineux à ses actionnaires et dirigeants plutôt que de réaliser les investissements permettant de dynamiser durablement l'activité du site ?

L'époque de messieurs Hollande et Ayrault ressemble donc de plus en plus à celle des compromissions sans contrepartie avec le grand patronat et les forces de l'argent. Ce désaveu infligé à Arnaud Montebourg et aux nombreuses voix émanant de toute la gauche qui revendiquaient une nationalisation partielle et multipliaient les propositions en faveur de la relance d'une activité sidérurgique enfin libérée de la tutelle mortifère des marchés financiers s'inscrit malheureusement dans la continuité d'autres renoncements passés et à venir. Il est temps, messieurs Hollande et Ayrault de renouer avec l'époque dont vous vous revendiquiez au coeur de la campagne présidentielle, celle du "changement", celle des promesses faites aux ouvriers de Florange, celle où vous sembliez prêts à répondre aux attentes des classes populaires plutôt qu'à caresser dans le sens du poil les vautours du patronat qu'ils nichent au Medef, au Luxembourg ou dans un simple pigeonnier!        La section

 

Les Palestiniens ont des droits, reconnaissons et appliquons-les !

Le samedi 24 novembre, plusieurs organisations de gauche, dont la section havraise du PCF, se sont rassemblées devant l'Université du Havre pour exiger d'Israël qu'il cesse de bafouer les droits des Palestiniens. Cette mobilisation locale est loin d'être isolée. Ainsi, le lendemain, dans une lettre ouverte au président de la République,700 élus locaux - toutes tendances politiques confondues (à l'exception significative du FN) - ont relayé les revendications et actions concrètes de leurs concitoyens en faveur des droits des Palestiniens et d'une paix juste et durable au Proche-Orient. Déjà, le 17 novembre, citoyens, associations, ONG et partis politiques de gauche manifestaient ensemble dans de nombreuses villes de France pour exprimer leur soutien aux habitants de Gaza victimes des bombardements et du blocus israéliens.

On est donc en droit d'attendre qu'un gouvernement de gauche relaie explicitement cette mobilisation populaire. La France, par la voix de messieurs Hollande et Fabius, vient certes d'annoncer qu'elle votera bien, le 29 novembre, en faveur de l'octroi à la Palestine d'un statut d'Etat observateur à l'ONU. Mais cette initiative est largement insuffisante. L'Etat français doit prendre des positions beaucoup plus fermes en faveur du respect des droits des Palestiniens, condition nécessaire à toute relance du processus de paix. Il est temps que la France exige d'Israël qu'il respecte le droit international. Il est temps que la France demande officiellement et fermement à Israël de lever le blocus de Gaza et de mettre fin à la colonisation et l'occupation de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est. Il est temps que la France cesse de jouer le jeu de Netanyahou en réclamant une reprise des négociations de paix "sans conditions".

La fin de la colonisation et de l'occupation, la fin du blocus de Gaza ne sont pas des "conditions" mais bel et bien des règles de droit international, qu'Israël bafoue en toute impunité. Tant que la France et l'Union Européenne - qui importe massivement des produits agricoles et industriels provenant des colonies israéliennes illégales - continueront à cautionner ces violations des droits des Palestiniens, leurs discours en faveur de la paix ne seront que vaines paroles et fables hypocrites.                                          La section

Novembre 2012:

SENAT: Le bon budget existe, on l'a retrouvé!

Les mesures votées en 2011 par les sénateurs socialistes et du Front de gauche constitueraient un vrai budget anti-austérité.                                   >  la preuve ....

POURQUOI NOUS REFUSONS L’AUSTERITE !

LETTRE OUVERTE DES SENATRICES ET SENATEURS DU GROUPE COMMUNISTE REPUBLICAIN ET CITOYEN (CRC)                                                                                                                >  lire ....

La menace frontiste.

Le Front National a toutes les raisons de se réjouir de l'élection de Jean-François Copé à la tête de l'UMP. Cette élection confirme en effet à quel point le parti fondé par J. Chirac en 2002 est désormais sous l'emprise idéologique de l'extrême-droite.                                                                                       >  lire ....

Ainsi, en votant pour J-F Copé, une majorité de militants UMP ont affirmé leur soutien à un homme qui a fait campagne en reprenant sans vergogne les thèses frontistes. S'inspirant de la campagne présidentielle menée par N. Sarkozy, le nouveau président de l'UMP s'est placé sous la tutelle idéologique de Patrick Buisson, ancien directeur du journal d'extrême-droite Minute. La victoire de J-F Copé est donc aussi et surtout celle des discours lepénistes les plus nauséabonds, celle du "racisme anti-blanc", de l'islamophobie, de l'amalgame entre immigration et insécurité. La victoire de la motion "la France forte", dont Guillaume Pelletier - transfuge du FN et ancien conseiller de campagne de N. Sarkozy- est un des auteurs, confirme elle aussi à quel point l'idéologie frontiste imprègne l'UMP et ses militants. En prétendant incarner les idées d'une "droite décomplexée", cette motion accumule les poncifs xénophobes.

Dès lors, le discours du Front National risque d'avoir de beaux jours devant lui. Tandis que de 2007 à 2012, le pouvoir sarkozyste, par ses discours et sa politique, n'a cessé de relayer et de banaliser les thèses lepénistes, l'UMP de Copé s'apprête à poursuivre et même renforcer cette entreprise de banalisation des idées racistes, xénophobes et islamophobes.

Mais le Front National peut aussi se réjouir des conditions mêmes dans lesquelles Copé a pris la tête de l'UMP. Le spectacle désolant des dirigeants de l'UMP, prêts à toutes les fraudes et intimidations pour conserver leur position dominante au sein du parti et de la vie politique, a fait des heureux au FN. En effet, quoi de plus facile pour Le Pen et ses lieutenants que d'utiliser cette mascarade électorale pour entonner le refrain fasciste du "tous pourris" et capitaliser en vue des prochaines échéances électorales ?

Alors que son influence idéologique n'a jamais été aussi forte, le risque d'une future conquête du pouvoir par l'extrême-droite doit être pris très au sérieux. Non seulement l'UMP et plusieurs grands média ont contribué depuis trop longtemps à banaliser son discours, mais surtout le contexte actuel de crise économique, de montée du chômage, de progression des inégalités et de la pauvreté est un terreau particulièrement favorable pour le FN.

Face à ce danger, toutes les forces de gauche doivent faire front ensemble. Toutes les forces de gauche s'engager dans une lutte idéologique sans concession contre les thèses de l'extrême-droite qui imprègne une part croissante de l'opinion publique. Mais cette lutte implique aussi et surtout de répondre aux immenses attentes des classes populaires. La gauche de retour au pouvoir a l'urgente responsabilité de ne pas les décevoir. Le gouvernement socialiste doit prendre la mesure de cette responsabilité en rompant rapidement avec sa politique austéritaire qui risque de faire le lit de l'extrême-droite .                                                             La section havraise du PCF.

Non, les parlementaires Front de Gauche ne votent pas avec la droite contre le PS. Ils votent contre l’austérité et le chômage de masse, contre l’aggravation des conditions de vie des classes populaires ; ils votent pour plus de justice, pour plus d’égalité.

                                                                                                                                                    >  lire ....

Mobilisons-nous pour obtenir le changement !

Au printemps 2012, c'est au nom d'une exigence de changement, d'un espoir d'une société plus juste et plus égalitaire que les électeurs ont porté François Hollande et sa majorité parlementaire au pouvoir.                                                                         >  lire ....

 

Octobre 2012:

(à suivre)

De quoi le « choc de compétitivité » est-il le nom ?

Depuis plusieurs semaines, de nombreuses voix du patronat français se relaient dans les média pour invoquer l’urgence d’un « choc de compétitivité ». Reprenant les orientations du rapport que Louis Gallois doit remettre au gouvernement, ces patrons français exigent une réduction drastique des dépenses publiques ainsi qu’une baisse massive des cotisations patronales et de la fiscalité du capital qui serait compensée par une hausse de la TVA......                                    >  lire ....

Passées les bornes, il n'y a plus de limite !                               

(où il est question de dépassements d'honoraires)                        >  lire ....